Alors que les quartiers populaires ont une empreinte écologique moindre, ils constituent les territoires les plus vulnérables face aux problématiques environnementales – ils sont par exemple davantage touchés par la précarité énergétique, les pics de chaleurs, les problèmes de santé liés à la pollution de l’air intérieur et extérieur… Pourtant, les enjeux environnementaux semblent plus éloignés des préoccupations des habitants et acteurs engagés dans ces territoires, pouvant être considérés comme non prioritaires quand des difficultés à se loger ou à se nourrir décemment au quotidien sont présentes.